Publié le 29 Décembre 2020

Rédigé par education-programme

Publié le 24 Décembre 2020

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Fantaisies nivernaises
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Fantaisies nivernaises
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Plusieurs méthodes de travail et certains moyens de contrôle facilitent le dessin d'un corps humain.
- Le canon égyptien : 19 fois le doigt médium dans la hauteur totale du corps.
- Le canon de Polyclète : la largeur de la main sert de référence.
Dans la statue du Doryphore la distance du sol au milieu de la rotule est égale à celle de la rotule au col du fémur ; de celui-ci au sommet du sternum et enfin à la largeur des épaules.
Dans la majorité des canons la tête a été prise comme unité. Huit fois dans la plupart des statues grècques dont le bas-ventre, en station debout, constitue le milieu du corps. Dans le canon dit "des Ateliers" la tête y est comprise sept fois et demi et l'extrémité des bras pendant le long du corps correspond généralement au milieu de la cuisse.

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Rédigé par education-programme

Publié le 17 Décembre 2020

Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.
Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉     Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.

Les histoires, à Nevers, sont parfois extraordinaires… Le commandant Porter qui commandait la mission dit qu’ils n’ont essuyés que des tirs d’armes légères et la vox populi dit qu’il y a avait une « flak » sur la cathédrale donc c’est pour cela qu’elle a été détruite… C’était déjà la version complotiste de l’histoire. 😉 Nous sommes arrivés à remettre les choses dans le bon ordre en particulier grâce à l’article de Benet dans le journal du centre.

Nièvre aux armées
Nièvre aux armées

La photo du pont a attiré notre attention mais en regardant attentivement d’autres photos, même si elles comportent un intérêt certain, elles ne correspondent sans doute pas au mois de juillet 1944. Nous pensons qu’il s’agit de photos prises après-guerre. En effet, nous voyons les allemands travailler avec des pelles pour débarrasser les gravats. Ceci est impensable pendant l’occupation, ces derniers prenaient toujours des « locaux » pour effectuer ce type de travail. Je pense qu’elles ont été prises quelques mois plus tard. Il est néanmoins incontestable que ces chantiers sont ceux engendrés par le bombardement.

Je vous adresse quelques documents qui, si vous ne les possédez pas montrent la vision locale quelques jours, semaines ou mois (?) après le bombardement.
Sur le combat du pont de Loire le 17 juin 1940 ? À part le témoignage d’un enfant à l’époque, mais décédé depuis, et du texte de Pierre Volut, nous n’avons pas vraiment trouvé d’éléments pour raconter cette histoire. En particulier les infos concernant la destruction du pont de chemin de fer sont contradictoires…

Jean-Luc CULIE
http://www.nievre-aux-armees.com/

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Rédigé par education-programme

Publié le 13 Décembre 2020

Ce matin, on a donné double ration d’eau-de-vie. Imagine ce que peut être un assaut à l’arme blanche. Ces aciers fins et blancs au bout du fusil, tenus par nos mains crispées. Ce combat est ce qu’on peut demander de plus terrible à nos corps tremblants de mortels. On respire un bon coup avant de plonger, avant le bond dans l’inconnu.

J’ai peur de l’inconnu, peur de sortir, peur de me battre.
Avec une sorte d’inquiétude animale, serrés les uns contre les autres, tous se taisent, nous sommes 50 empilés dans ce réduit, si serrés, que nous ne pouvons faire un mouvement. Nos pieds enfoncés dans la terre se gèlent avec elle. J’ouvre les yeux. La terrible réalité m’apparaît. Nous allons partir à la mort.

Nous finissons par marcher dans un demi sommeil, inconscient, sans ordre, sans voir et sans penser, comme des bêtes. Dans cette atmosphère qui sent la mort on entend des cris, des ordres venus dont on ne sait où.
Le signal de départ vient d’être donné, les coups de fusils claquent et bientôt un barrage d’acier tombe sur nos os. Bientôt ce sont des cris, des hurlements d’horreur. Des hommes tombent cassés en deux dans leur élan. Il faut franchir la plaine balayée par les balles, les membres disloqués, la figure noire, horrible. Un terrible corps à corps s’engage et c’est à l’aide de nos pelles que nous frappons. On voit un tourbillonnement d’hommes que l’on ne reconnaît pas, qu’on entend plus.
Je saigne du nez et des oreilles. Je suis fou ; je ne vois même plus le danger, je ne songe plus à rien. Un de mes camarades apparaît bégayant, ahuri presque fou.
Je me vois les reins brisés, étouffant, creusant la terre de mes mains et là, tout près de moi, s’élève une monotone plainte : j’ai mal, maman ! Maman ! mon dieu je vais mourir.
Sans savoir pourquoi, je revois des détails insignifiants. Puis c’est la vision soudaine des êtres chers : ma femme, ma mère, mon enfant… Je me dis que tous les rêves que nous avons fait ensemble ne se réaliseront jamais, que je vous reverrai plus… Soldat Louis Corti.

La grande guerre - Témoignages
La grande guerre - Témoignages
La grande guerre - Témoignages
La grande guerre - Témoignages
La grande guerre - Témoignages
La grande guerre - Témoignages
La grande guerre - Témoignages

Février 1919 - Témoignage de Louis Barthas, tonnelier

Dans les villages on parle déjà d’élever des monuments de gloire, d’apothéose aux victimes de la grande tuerie, à ceux, disent les patriotards qui « ont fait volontairement le sacrifice de leur vie », comme si les malheureux avaient pu choisir, faire différemment. Je ne donnerai mon obole que si ces monuments symbolisaient une véhémente protestation contre la guerre et non pour exalter une telle mort afin d’inciter les générations à suivre l’exemple de ces martyrs malgré eux.

Ah ! Si les morts de cette guerre pouvaient sortir de leur tombe, comme ils briseraient ces monuments d’hypocrite pitié, car ceux qui les élèvent les ont sacrifiés sans pitié.
Souvent je pense à mes camarades tombés à mes côtés. J’ai entendu leurs imprécations contre la guerre et ses auteurs, leur révolte contre leur funeste sort, contre leur assassinat. Et moi, survivant, je crois être inspiré par leur volonté en luttant jusqu’à mon dernier souffle pour l’idée de paix et de fraternité.

Grippe espagnole et COVID-19

 Le 11 juillet 1918, la grippe est signalée à Decize. Pour endiguer la contagion, des conseils sont donnés à la population : faire bouillir l'eau ; se laver les mains avant les repas ; éviter le contact des foules.

Les premières semaines, il n'est pas facile d'identifier cette maladie. Un médecin neversois chargé de la prophylaxie déclare au plus fort de l'épidémie : "Nous ne savons pas au juste à quelle époque a débuté l'épidémie actuelle d'influenza car il y a eu, cet été, de très nombreux cas d'intoxication gastro-intestinale, comme il s'en présente parfois pendant les chaleurs et qu'on a parfaitement pu confondre avec des cas de grippe des voies digestives." Toutefois, cette épidémie se répand très rapidement dans une population mal nourrie, angoissée, affaiblie après quatre ans de restrictions, et encore plus vite chez les blessés, convalescents des hôpitaux militaires.
M. Archambault, adjoint faisant fonction de maire de Decize - qui va bientôt être emporté par l'épidémie - déplore lui aussi une situation sanitaire dangereuse. Il n'y a à Decize qu'un seul médecin militaire et le docteur Dejean, "médecin civil très actif". Tous les locaux sont déjà occupés : l'hôpital, l'école primaire supérieure, les Minimes, Corcelles, Chevannes, le camp de Caquerêt...            

A Decize, l'épidémie commence au milieu du mois de septembre à l'hôpital auxiliaire n°3 des Minimes ; plusieurs cas bénins se déclarent ; une dame chargée de l'approvisionnement est contaminée, elle décède.
Le 9 octobre 1918, le docteur Dejean signale au préfet le développement brutal de l'épidémie à Decize : "L'épidémie de grippe s'est manifestée depuis hier à l'école libre des Minimes. Une vingtaine de pensionnaires sont alités. Le directeur va renvoyer chez eux les pensionnaires encore indemnes, car les faire coucher dans les dortoirs avec leurs camarades malades serait les condamner à contracter la grippe. il désinfectera les salles avant leur retour. A l'Ecole Primaire Supérieure, hier un pensionnaire seul était atteint; aujourd'hui ils sont cinq.

Au début de l'année 1919, la grippe semble en décroissance. Un malade meurt encore à Béard, deux à Neuville-les-Decize.

Cf/ Pierre Volut, L'HOPITAL AUXILIAIRE N°3 DES MINIMES

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Rédigé par education-programme

Publié le 7 Décembre 2020

Sur le Titanic
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