Publié le 8 Novembre 2020

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1993 - 2020 - EPILOGUE ?

En France, un Art d'Etat peut-être pire qu'en ex Union-Soviétique. Ici, les apparatchiks proviennent souvent de l'ENA. Les Centres d'art, constructions de toutes pièces et financés exclusivement par l'argent public, sont des lieux de fausses illusions, parfois même aussi d'imposture, pour une infime minorité d'artistes choisis arbitrairement. Les politiciens prônent quasi unanimement l'intérêt général mais alors pas dans ce cas.

En 1993, le Conseil Général en suivant la ferme volonté de son Président, décide de lancer les opérations de réhabilitation du domaine thermal de Pougues-Les-Eaux dont deux parties, la gentilhommière et l’usine d’embouteillage, seront réservées à l’implantation définitive du Centre d’Art. Ces importants travaux sont financés à hauteur de 40 % par l’Etat, le reste à la charge des collectivités locales, autrement dit toujours par l'argent public.
Cependant, face à la réticence de la Commission Départementale Education et Culture, qui a émis un avis réservé sur la poursuite de l’opération dont l’opportunité, d’après elle, paraît discutable, seule une partie du domaine sera dans l’immédiat restaurée.

Les travaux du Centre d’art ont été alors estimés pour au moins 7,5 MF et confiés au cabinet d'architectes parisiens CORNU et CREPET. Cependant, ensuite, aucune estimation sérieuse ne concernera son coût de fonctionnement.

La Mort du Centre d'art

La Mort du Centre d'art

L'Allégorie de l'art ou le combat des influences  L'influençable anthropoïde, sous le regard et avec l'accord tacite du petit ministre interchangeable, essaie en vain de tordre le cou à l'art académique. L'art contemporain qui repose sur l'immatériel concept et l'éphémère au détriment de la peinture, pense gagner le combat grâce au soutien des institutions... La peinture académique, son exact contraire, connut effectivement une mise à l'écart d'au moins un siècle, les œuvre ont été décrochées des cimaises des musées, mais comme là il restait une trace tangible, de surcroît populaire, alors elles ont été raccrochées. Qu'en sera t-il pour l'art contemporain ? On peut raisonnablement penser, à plus ou moins long terme, qu'il n'en restera rien ou presque.

L'Allégorie de l'art ou le combat des influences L'influençable anthropoïde, sous le regard et avec l'accord tacite du petit ministre interchangeable, essaie en vain de tordre le cou à l'art académique. L'art contemporain qui repose sur l'immatériel concept et l'éphémère au détriment de la peinture, pense gagner le combat grâce au soutien des institutions... La peinture académique, son exact contraire, connut effectivement une mise à l'écart d'au moins un siècle, les œuvre ont été décrochées des cimaises des musées, mais comme là il restait une trace tangible, de surcroît populaire, alors elles ont été raccrochées. Qu'en sera t-il pour l'art contemporain ? On peut raisonnablement penser, à plus ou moins long terme, qu'il n'en restera rien ou presque.

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Rédigé par education-programme

Publié le 31 Octobre 2020

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Publié le 31 Octobre 2020

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Guérigny
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Guérigny
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Châtillon-en-Bazois

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Rouy

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Saint-Saulge
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Fourchaubault
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La Charité-sur-Loire

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Rédigé par education-programme

Publié le 30 Octobre 2020

ACMA Vespa bella Fourchambault
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Rédigé par education-programme

Publié le 30 Octobre 2020

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