Résultat pour “lettre a mon conseiller”

Publié le 15 Septembre 2016

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‘Bonjour les amis ! Voici comme promis le fichier de l'interview qui a été diffusée mercredi soir sur nos ondes (car bug informatique mardi). Je vous souhaite bonne réception ! Cordialement, Pierre - Nevers FM’ Fichiers (28 Mo au total)

INTERVIEW GALERIE K13.mp3

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Rédigé par education-programme

Publié le 17 Décembre 2016

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Patrick Dorocant, responsable de la Galerie K13 rue de Nièvre, ne manque pas de dynamisme en cette fin d’année 2016. Il organise simultanément plusieurs expositions à Nevers, dans sa galerie bien entendu et chez PATAPIN-Mouësse avec une présentation aquarellée des bords-de-Loire de Eric Basset, et, présentées sur les cimaises de l’Hôtel Mercure les peintures de Marc Vérat figurant une vision personnelle et colorée de Quétigny près de Dijon.
Marc Vérat et François Agenet, propriétaire de l’Hôtel Mercure, se sont croisés il y a trente ans lorsque ce dernier était alors Directeur Général d’EUROSIT à Nevers Saint-Eloi, fabriquant de sièges de bureau - Design et Ergonomie.

Animation culturelle
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
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Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant
Photo-reportage, Claire Aldon. Sur la première photos : Gérard Arnold, Pierre Duriot et Patrick Dorocant

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Marc Vérat, François Agenet et Patrick Dorocant

Marc Vérat, François Agenet et Patrick Dorocant

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Rédigé par education-programme

Publié le 11 Avril 2017

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L'hôpital américain
330 hectares, 700 baraquements, 40.000 lits  : en 1918, Saint-Parize-le-Châtel a abrité l’un des plus grands hôpitaux américains de la Première Guerre Mondiale. Il n’en reste qu’un château d’eau…
Il y a 100 ans, les troupes américaines débarquaient sur les côtes françaises. Par dizaines puis centaines de milliers, elles vont contribuer, notamment par leur logistique, à la défaite de l’Allemagne dans cette Première Guerre Mondiale.
 
La solution de Dakin inventée sur le camp
Les Américains parient sur plusieurs années de combat et s’organisent en conséquence. Ils construisent des ports, des gares, des ponts (dont un à Nevers), des camps… Et des hôpitaux de campagne. Le centre de la France est stratégique, proche du front. Un des plus grands “hospital center” est édifié en quelques mois à proximité de Mars-sur-Allier, où il se raccorde au chemin de fer, et dont il portera le nom. Il s’étend en fait principalement sur la commune de Saint-Parize-le-Châtel, et en grande partie sur l’emprise actuelle du circuit de Magny-Cours.
 
Sur 330 hectares, de janvier à août 1918, c’est une véritable ville éphémère qui va voir le jour : 700 baraquements, des dortoirs et salles d’opération calibrés pour 40.000 blessés, des camps de convalescence mais aussi des laboratoires (où deux chirurgiens vont mettre au point la solution de Dakin, célèbre antiseptique), des cuisines, une salle de spectacle… Car le camp fait travailler environ 8.000 personnes, entre personnels de santé et militaires.
Si sa durée de vie sera plus courte que prévu (quelques mois), les Américains ont tout de même le temps d’y monter un orchestre, une équipe de football américain, et même un journal, The Martian. Les premiers blessés seront accueillis en août 1918. Le camp fermera en mai 1919. Il accueillera finalement 12.000 blessés et comptabilisera 438 décès.
 
Un château d'eau demeure derrière le circuit de Magny-Cours
 
De cet épisode méconnu, à l’image d’un débarquement effacé des mémoires par celui de 1944, il ne reste pas grand-chose. Matériellement, un château d’eau, construit par les Américains et qui n’a jamais eu le temps de servir, mais qui se dresse encore à l’entrée du village, derrière le circuit de Magny-Cours.
Quelques morceaux de vestiges des installations américaines ont été retrouvés récemment par l’Institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap), dont les archéologues spécialistes de la Grande Guerre ont découvert par hasard l’existence de l’hôpital américain en 2014. « Le plus grand en France, à ma connaissance » témoigne Alexandre Coulaud, spécialiste en archéologie contemporaine, qui participe à une équipe de recherche sur les Américains dans la Grande Guerre.
 
En juin prochain, il viendra présenter une partie des objets trouvés, à Saint-Parize. « Nous n’en sommes qu’au début de la recherche » assure d’ailleurs Alexandre Coulaud.
En juin aussi, un parcours de mémoire, de 6 à 12 km, reconstitué par ceux qui entretiennent le souvenir, dont Gianni Belli et le Cercle d’Entraide Généalogique Heredit, permettra de mieux visualiser l’ampleur du camp.
Enfin, ce qui reste aussi de cet épisode américain, ce sont des familles de descendants, en particulier celle de Rébécca Goethe, fille de Moiry (alors hameau de Saint-Parize) et de Charles De Vries, aide-infirmier dans les American Expeditionary Forces. Leur fille Lucy, aujourd’hui âgée de 84 ans, reviendra aussi pour les commémorations prévues du 23 au 25 juin.
 
Alain Gavriloff/ lejdc.fr

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Rédigé par education-programme

Publié le 15 Avril 2017

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1949 - Les jeunes-filles ou jeunes-femmes participent souvent volontier et en souriant aux jeux du photographe qui, lui, à n'en pas douter reste masculin. C'est ainsi ! Encore et toujours...

Photographer/ Joseph Steinmetz, 1905-1985
Joseph Janney Steinmetz was a world-renowned commercial photographer whose images appeared in such publications as the Saturday Evening Post, Life, Look, Time, Holiday, Collier's, and Town & Country. His work has been referred to as "an American social history," which documented diverse scenes of American life from affluent northeasterners to middle-class Floridians. Steinmetz moved from Philadelphia, Pennsylvania to Sarasota, Florida in 1941.
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
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Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
Lido Beach, Florida Memory
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Rédigé par education-programme

Publié le 3 Juin 2017

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Mais qui se souvient encore des jeunes filles en fleurs de Jules Lefebvre (1836 -1911),
le peintre académique couvert d'honneur, officier et même commandeur de la Légion d'Honneur,
membre de la toute puissante Académie des Beaux-Arts et professeur de la renommée Académie Julian ?
Le jour du décès du célèbre et grand peintre, Picasso a alors tout juste trente ans et ses "Demoiselles d'Avignon" en ont quatre.
Sous prétexte de recherche, de modernité et d'innovation, l'Image désormais change de forme, davantage pour le pire que le meilleur.
 
Commune de Pougues-les-Eaux, interprétation d'après Jules Lefèbvre, son Pavillon des Sources et sur le Chemin de Priez.
Jules Lefèbvre, Eloge de l'Image
Jules Lefèbvre, Eloge de l'Image
Jules Lefèbvre, Eloge de l'Image
Jules Lefèbvre, Eloge de l'Image
Jules Lefèbvre, Eloge de l'Image
Jules Lefèbvre, Eloge de l'Image
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Rédigé par education-programme