Résultat pour “Pougues les eaux”

Publié le 7 Mai 2021

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Le département s'est désengagé du Centre d'art et de l'ensemble du parc Saint-Léger qu'il a vendu à la municipalité pouguoise.
Il reste maintenant à connaître le ou les choix nécessaire à l'inévitable reconversion du Centre ?

Le déménagement en cours du Centre d'art
Le déménagement en cours du Centre d'art
Le déménagement en cours du Centre d'art
Le déménagement en cours du Centre d'art
Le déménagement en cours du Centre d'art
Le déménagement en cours du Centre d'art

Le déménagement en cours du Centre d'art

Le « paradigme » de l’art dit contemporain semble bien arriver en phase finale.

Le « Magasin » de Grenoble devient « La Supérette », après le licenciement de sa directrice suite à un congé de plus d’un an pour profonde asthénie musculaire et dépression. La « Supérette » est maintenant gérée par un collectif de street-artistes locaux en articulation directe avec la municipalité verte de Monsieur Piolle.

http://et.pourquoi.pas.over-blog.com/2021/04/a-grenoble-le-magasin-devient-une-superette.html
http://www.petit-bulletin.fr/grenoble/infos-article-68834-Une+occupation+au+Magasin++.html

Le curator international et journaliste Nicolas Bourriaud est congédié du poste à Montpellier qui lui avait été confié pour le rayonnement de l’art contemporain.

https://www.midilibre.fr/2021/03/17/montpellier-nicolas-bourriaud-debarque-du-moco-et-colere-chez-les-etudiants-des-beaux-arts-9433512.php

La ville de Quimper coupe les subventions de son centre d’art « Le quartier » qui avait notamment imaginé de faire écouter de la musique à des plantes afin qu’elles poussent plus rapidement.

https://www.ouest-france.fr/bretagne/quimper-29000/quimper-le-centre-dart-contemporain-le-quartier-ferme-4443842

Le centre d’art en milieu rural de Pougues-les-Eaux est abandonné lui aussi après ses plus ou moins extravagantes expositions et au constat qu’il n’y avait aucun public.

Un des produits de l’art officiel d’État, le nivernais Claude Lévêque, a disparu des radars en même temps que Christophe Girard, grand maître des cérémonies culturelles socialo-progressistes parisiennes les « nuits blanches » avec les tulipes de Koons ou encore les grandes bâches de Christo…

Désormais on ose ouvertement s’interroger sur la nature de cet art qui s’est approprié le qualificatif « contemporain », sur ses origines, sur sa légitimité, sur sa logique de fonctionnement, sur son bilan, sans craintes des bordées d’injures ou d'être taxé de populisme, voire de fascisme.
Autant de signes qui montrent que l’art contemporain est en bout de course, que l’appareil qui le produit en vase clos depuis 40 ans commence à gripper, que l’idéologie de type totalitaire qui le sous-tend se retourne sur elle-même, que la terreur intellectuelle qu’il a inspiré s’émousse.
Un total échec aussi de la traduction artistique d’un néolibéralisme débridé mondialisé. Un calamiteux résultat pour 40 ans de déconstruction subventionnée.

Quel avenir pour ces dizaines de milliers d’œuvres conceptuelles accumulées dans les collections publiques - tous ces tas de terre, de fripes, ces nombreux objets de récupération, tous ces parpaings, ces bouts de bois et assemblages improbables - Qu’en faire ? Quand leur inaliénabilité est inscrite dans la loi, quand le respect du droit moral et de la propriété intellectuelle est impératif en ce territoire pourtant de non-sens ?

Vers une proposition de reconversion du Centre d'art de Pougues
Vers une proposition de reconversion du Centre d'art de Pougues
Vers une proposition de reconversion du Centre d'art de Pougues

Vers une proposition de reconversion du Centre d'art de Pougues

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Rédigé par education-programme

Publié le 18 Juin 2019

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Une TVA réduite sans doute source de pollution ?
Sans évoquer la pollution induite, McDonald's reconnaissait que la baisse de la TVA de 19,6 % à 5,5 % en 2009 lui avait également permis d'engranger 19 millions d'euros...
Aujourd'hui la taxe est certes un peu moins favorable mais McDo utilise toujours chaque jours une énorme quantité d'emballages avec des millions de pailles en plastique, notamment pour la nourriture à emporter. Ces conditionnements ne servent que quelques minutes avant d’être jetées aux poubelles ou, pire, dans la nature.

Le Centre de gériatrie un lieu de curiosité URBEX
Décembre 2012 - Comme chaque année, le Centre communal d'action sociale a gâté les 120 malades du centre de gériatrie de la route de Priez.
Jeudi, Chantal Thépénier, conseillère, et Jean-Michel Dupont, conseiller et membre du CCAS, accompagnés de Sophie Da Costa, animatrice de l'établissement, sont passés auprès de tous pour leur offrir un sachet de chocolats, leur glisser quelques mots de réconfort et leur souhaiter un joyeux Noël. Une attention très appréciée des résidants ! Les deux élus ont aussi pensé au personnel qui sera de service pendant les fêtes en laissant à chaque étage une boîte de chocolats.

Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort
Priez, chemin de Montfort

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Rédigé par education-programme

Publié le 5 Août 2019

Le Vadrouilleur urbain

 Boucher & lecland

Le Conseil de presse du Québec mentionne : « Le choix des manchettes et des titres, ainsi que des légendes qui accompagnent les photos, les images et les illustrations, relève de la prérogative de l’éditeur » « La façon de présenter et d’illustrer l’information, relèvent du jugement rédactionnel et demeurent des prérogatives des médias et des professionnels de l’information. Les médias et les professionnels de l’information doivent être libres de relater les événements et de les commenter sans entraves ni menaces ou contrôle excessif d’un tiers. »

Aujourd'hui la « contre-culture », c'est-à-dire la réaction à l'art contemporain établi, et pour reprendre un vocable à la mode des années 60, se trouve sur Internet.

Ce terme « contre-culture » décrivait le mouvement d'opposition à la culture dominante qui s'est principalement développé aux États-Unis et au Royaume-Uni, puis qui s'est répandu dans la plus grande partie du monde occidental entre 1960 et un peu après 1970.

Durant les années 60, des tensions générationnelles prennent corps au sein de la société américaine vis-à-vis de la guerre du Viêt Nam, des relations raciales, des mœurs sexuelles, des droits des femmes, de l'autorité, des drogues, et des interprétations du rêve américain. De nouvelles formes de culture émergent, notamment avec la pop des Beatles et la montée de la culture hippie...

Le Vadrouilleur Urbain
Le Vadrouilleur Urbain
"Contre-culture" au Centre d'art contemporain de Pougues-les-Eaux. Le modèle peint préfère se détourner des Installations du Centre et focaliser son attention, à défaut d'autre Performance, sur l'image de son fessier.

"Contre-culture" au Centre d'art contemporain de Pougues-les-Eaux. Le modèle peint préfère se détourner des Installations du Centre et focaliser son attention, à défaut d'autre Performance, sur l'image de son fessier.

Improbable Nu académique peint au Centre d'art contemporain de Pougues-les-Eaux

Improbable Nu académique peint au Centre d'art contemporain de Pougues-les-Eaux

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Rédigé par education-programme

Publié le 17 Août 2019

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Le Vadrouilleur Urbain

Aujourd'hui le concept remplace la Peinture et toute forme d’objet, pour suivre l'idée de Marcel Duchamp, peut devenir artistique si le monde de l’art le présente comme tel, avec grands renforts de textes, de théories et de marketing culturel.
Alors face au « cultural power », la nécessité d'une « contre-culture », d'un Manifeste, devient tôt ou tard inéluctable.

La Contre-culture avec d'improbables nus académiques peints présents au Centre d'art contemporain de Pougues-les-Eaux. Il s'agit là de réhabiliter une certaine idée de l'Image en recréant du lien avec le public.
Ces images sont autant de réflexions voulues sur l'évolution d'un art en crise, reflet d'un malaise profond concernant la représentation. Pourtant au sein de la critique un débat existe, révélateur d’une évolution autant sociale qu’artistique. La critique n’est plus seulement attentive à l’œuvre mais aussi envers le public qui la regarde et avec qui elle doit dialoguer au lieu d’imposer.

Counterculture, a way of life and set of attitudes opposed to or at variance with the prevailing social norm. La Contre-culture, avec comme référence un retour sur l'Image et la Peinture des grands classiques : Jean-Léon Gérôme, William Bouguereau et Lawrence Alma-Tadema...

https://verat.pagesperso-orange.fr/Contre-culture_Marc-VERAT.pdf

​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture
​​​​​​​Performance au Centre d'art et Contre-culture

Cultural power et Soft power

On pourrait définir le Cultural power, suivi du Soft power, comme une capacité d'obtenir ce que l'on souhaite par le biais de l'attraction plutôt que par la contrainte, comme une capacité à façonner les préférences des autres.

Cultural power et Soft power étaient initialement prévus en direction des intellectuels, source d'influence, et visaient en particulier à répondre aux récits pessimistes de certains sur l’avenir de la puissance américaine dans le monde et, globalement, du déclin toujours possible des grandes puissances.


ART CONTEMPORAIN - Profil type de cultural power

L'Oeuvre : - Actuellement une photographie floue de genre indéterminé qui peut être de qualité médiocre mais de grand format avec, au centre, un éclairage néon qui clignote le tout sur un fond sonore répétitif.
Le Titre : - UNTITLED
La Démarche : Le processus de l'assimilation de la source lumineuse, de sa mise en valeur et de l'atténuation floue joue un rôle récurrent majeur. Les calculs parfois ironiquement exagérés ne livrent pas seulement le protocole détaillé de la propre démarche intrinsèque mais ils introduisent aussi l'aspect délibérément arbitraire et ambigu des systèmes sémantiques qui se réfèrent à eux-mêmes en s'ouvrant finalement sur des lectures multiples parfois complexes qui questionnent le spectateur...
L'Artiste : Vit et travaille à New York, appartient et est issu de la bourgeoisie aisée. Pour appartenir à la scène de l'art occidental le talent n'est pas indispensable, par contre la connaissance du réseau semble incontournable et le carnet d'adresse doit surtout être très influant.

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Rédigé par education-programme

Publié le 5 Mars 2019

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UN EXEMPLE CONCRET ET SIGNIFICATIF
 

La création du Centre d’Art de Pougues-Les-Eaux a eu le mérite d’ouvrir dans la Nièvre un débat entre : le subventionné et le non subventionné, les abstraits et les figuratifs, le national et le local mais aussi, selon le même schéma réducteur, la gauche-progressiste et la droite-conservatrice.
Les critères de référence du Centre, comme indiqué précédemment, reposent sur des valeurs conceptuelles et innovantes en opposition naturellement à la figuration imagée et anecdotique ; c’est-à-dire que pour lui l’oeuvre véritable, digne d’intérêt, sera l’installation d’un câble dans les anciennes Forges royales de Guérigny (1990), mais sûrement pas un paysage « Bords de Loire » accroché aux cimaises du Palais Ducal de Nevers par une Association locale de peintres amateurs.


Cependant, aucune de ces deux positions contraires : rejet des règles - rejet de la nouveauté, ne peut prétendre être l’apanage de l’art. A cet égard, la position de Kant, pour autant qu’elle puisse servir de base, montre qu’une position médiane peut toujours être envisagée.

Le point de vue soutenu par Eric Troncy qui prétend que les Centres d’Art n’ont aucun compte à rendre à l’histoire de l’art, que seule l’expérimentation demeure essentielle, est parfaitement concevable sans doute même défendable. Cette opinion se situe bien dans l’esprit iconoclaste et révolutionnaire du mouvement Dada. Néanmoins, l’innovation même a ses limites et les présentations des Centres d’Art répètent toujours le principe des « ready-made » cher à Marcel Duchamp...

L'Art académique au Centre d'art de Pougues
L'Art académique au Centre d'art de Pougues
L'Art académique au Centre d'art de Pougues
L'Art académique au Centre d'art de Pougues

L'Art académique au Centre d'art de Pougues

William BOUGUEREAU 1825-1905

 

Les sujets de Bouguereau reproduisent des scènes de genre pittoresque souvent peuplées d'angelots et de fillettes, ce qui a sans doute participé à son discrédit à venir, des anecdotes bibliques ou mythologiques très régulièrement prétexte à la représentation de nus.
Ce n'était pas seulement l'un des meilleurs peintres de l'anatomie humaine mais il était aussi l'un des artistes les plus admirés, les plus écoutés et enviés de la fin du dix-neuvième siècle. Son oeuvre peint ne contiendrait pas moins de 822 toiles, dont beaucoup se trouvent aujourd'hui en Amérique.

Né à La Rochelle, Deuxième Prix de Rome en 1850, membre de l'Académie des beaux arts en 1876 où il a enfin été élu le 8 janvier, après douze vaines tentatives, puis membres de l'Institut en 1881, il fait aussi partie du jury au Salon au côté de Cabanel et Gérôrme. Bouguereau remporta par ses grandes décorations murales, ses tableaux mythologiques ou ses peintures religieuses, un succès incontestable de son vivant.

 

Sa pâte "bouguereautée" sans touche apparente, son application dans le détail, en font un représentant typique de ce que l'on nomme "art académique". C'est-à-dire la forme d'art qui s'appuie sur la mise en oeuvre de techniques apprises, où le dessin tient une grande place, le tout au service de sujets à prédominance mythologique et historique mais qui ne dérangent en rien les habitudes du public.
Le rendu lisse, signe d'un métier contrôlé et soigné, associe la peinture de Bouguereau au "léché", témoin de fadeur et de laborieux dont il en devient le symbole. A tort, l'aspect à la fois lisse et grenu de ses chairs est obtenu par touches fondues et griffées, en aucun cas par blaireautage, comme il en riait lui-même.

L'exposition Bouguereau au petit Palais en 1984 donnera lieu à de belles polémiques, avec une hostilité quasi-générale de la presse mais avec un paradoxal succès public.

Jean-Léon Gérôme, Pygmalion et Galatée, vers 1890

 

A un interlocuteur qui critiquait l'enseignement de l'Ecole des Beaux-Arts, Gérôme rétorqua avec malice qu'il est sans doute bien plus aisé d'être incendiaire que pompier. Gérôme en vieillissant devint le symbole de la réaction. Le triomphe de l'avant-garde qu'il avait combattue devait lui être fatal : il connut une éclipse de près d'un siècle, sort qu'il partagea d'ailleurs avec ses collègues de l'Institut. Son absence dans la plupart des dictionnaires, au contraire de la présence, incontournable, de Van Gogh ou encore Cézanne en constitue la preuve la plus probante.
On l'étiqueta rapidement de peintre officiel. Gérôme bénéficia pourtant d'un nombre réduit de commandes publiques et son œuvre reste très peu présente dans les musées français, à l'exception de celui de sa ville natale, Vesoul.
C'est notamment en ramenant les dimensions des tableaux historiques à celles des "tableaux de boudoirs", selon les termes de Zola, que Gérôme trouve sa voie. Il contribua ainsi à populariser la peinture considérée comme noble et à la rendre accessible à tout un public bourgeois qui va non seulement apprécier ses petites toiles au caractère historique mais aussi celles, plus exotiques et sensuelles, qui mettent en scène des nus. Aux yeux du public de cette fin du XIXème, le sujet reste primordial avant d'être "une surface plane recouverte de couleurs en un certain ordre assemblées", selon la définition annonciatrice de la peinture moderne de Maurice Denis.


Pour Gérôme, un tableau doit donc avant tout illustrer une idée et raconter une histoire. Aussi il attachera toujours un grand soin, tant aux choix de ses thèmes qu'aux rassemblements de la documentation afférente.
Les peintures de Gérôme, contre toute attente, sont actuellement de plus en plus recherchées, notamment par les riches collectionneurs américains, elles sont en conséquence parmi les plus chères du marché.

L'Art académique entre au Centre d'art de Pougues, côté pile, côté face ?
L'Art académique entre au Centre d'art de Pougues, côté pile, côté face ?

L'Art académique entre au Centre d'art de Pougues, côté pile, côté face ?

Autoportrait, Jean-Léon Gérôme peintre et sculpteur avec son modèle favori
Autoportrait, Jean-Léon Gérôme peintre et sculpteur avec son modèle favori

Autoportrait, Jean-Léon Gérôme peintre et sculpteur avec son modèle favori

Emma Dupont, le modèle favori de l’artiste, dont on retrouve l'anatomie caractéristique notamment dans les poses nonchalantes et variées des baigneuses du harem.
La jeune femme portait les cheveux pris sur le dessus de la tête, leurs donnant ainsi l'impression d'être coupés courts ce qui à l'époque était peu fréquent, ses hanches caractéristiques et très féminines, d'ailleurs encore davantage présentées de dos où le modèle devient alors vraiment callipyge, auraient également inspiré le sculpteur James Pradier.
Emma, modèle plus ou moins professionnel, aurait aussi pris la pose pour Louis Bonnard, photographe de son état ; il est donc permis de penser que ce dernier serait l'auteur des six clichés qui représentent Jean-Léon au travail, avec un souci bien ordonné de mise en scène du modèle qui rappelle l'attitude de la sculpture. A remarquer la petite rose, détail romantique, sans doute offerte par l'artiste à son modèle.

C'est la Fin de la Pose, par ailleurs titre d'une peinture de Gérôme, et Emma replace les linges humides sur la sculpture de Jean-Léon qui sont nécessaire à la bonne conservation de la terre à modeler. Une fois le modelage satisfaisant, il sera procédé alors au moulage toujours délicat, en plâtre, en négatif et en plusieurs fragments, puis en positif.

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Rédigé par education-programme