Publié le 28 Juin 2018

L’entrée sud de Pougues est en travaux. La commune a programmé l’aménagement de son entrée sud sur 700 mètres linéaires. Vu l’importance du chantier, celui-ci se décomposera en trois phases de travaux.
Nevers agglomération va commencer par réaliser la déconnexion des sources. Aujourd’hui, les sources et les eaux usées sont récoltées dans un réseau unitaire, ce qui engorge la station d’épuration.
L'agglo va donc créer un nouveau réseau d’assainissement tandis que les sources resteront dans le réseau unitaire qui deviendra un strict réseau pluvial. Ces modifications sur le réseau pluvial sont à la charge de la commune. Les travaux seront réalisés par la Sade et doivent durer trois mois.
Une seconde phase débutera, elle, en septembre. Le Sieeen interviendra pour l’enfouissement des réseaux EDF et France télécom tant en domaine public que privé. La commune a obtenu des subventions du fonds départemental pour l’amélioration de l’insertion esthétique des réseaux électriques et de télécommunication pour l’ensemble de ce chantier.
Une dernière phase est programmée pour 2019. La commune réalisera, sur l’ensemble du chantier, l’aménagement de la voirie et des trottoirs pour accéder aux propriétés et à Bellevue. En fin de chantier, le conseil départemental se chargera de la réfection de la bande de roulement.
L'équipe de maîtrise d’œuvre se compose de l’architecte Carré d’arche, du paysagiste Atelier passages et du bureau d’études ingénierie Acte plus.
Devis estimatif  de la première tranche : 51.460 € HT, avec une subvention de 12.865 €. Devis pour l'enfouissement du réseau téléphonique estimé à 23.500 € TTC.
 
Vivement la Parité dans les Travaux Publics !
Vivement la Parité dans les Travaux Publics !
Vivement la Parité dans les Travaux Publics !
Vivement la Parité dans les Travaux Publics !
Vivement la Parité dans les Travaux Publics !

Vivement la Parité dans les Travaux Publics !

Généralement les filles sont moins dissipées que les garçons, elles apprennent mieux leurs leçons "par coeur", ce qui les amènent tout naturellement à mieux réussir les concours administratifs.
Ainsi dans la magistrature les femmes sont devenues majoritaires et le constat est connu depuis les années 1970-80, où la dynamique s’est amorcée, mais la tendance semble s’accroitre. Si on considère uniquement les magistrat(e)s et auditeurs de moins de 35 ans, plus de 86 % des magistrats recrutés sont des femmes.
Pour la promotion 2017, les femmes représentaient 77% des inscrits au premier concours, 80% des admissibles, et 73% des admis (soit 253 femmes et 90 hommes) et sont sur-représentées dans certaines fonctions, comme juge des enfants et il n’est pas rare de lire « Madame la Juge aux affaires familiales ».
Elles sont également sur-représentées dans les actes d’avocat, les actes notariés et Le nombre de femmes accédant à des postes de direction dans les musées ne cesse d'augmenter, sans parler bien entendu des femmes pharmaciennes.
Bref, lorsqu'il s'agit d'appliquer un texte, de retenir une formule, la profession se féminise...
La Fédération française du bâtiment regrette les difficultés persistantes à recruter dans le BTP.
"Le point central pour nous, c'est comment expliquer la difficulté que nous avons aujourd'hui à recruter alors qu'il y a 430.000 personnes inscrites au chômage a dit Jacques Chanut, président de la FFB, sur BFM Business. "Il y a donc bien un problème d'adéquation entre l'offre et la demande, peut-être un niveau de formation, un accompagnement nécessaire, peut-être aussi des changements de règles pour plus inciter à la reprise au travail", a-t-il ajouté.
Intégrer des jeunes et des migrants ?
La Fédération du bâtiment a maintenu mercredi ses prévisions 2018 d'une poursuite de la reprise du BTP en France en 2018, mais à un rythme ralenti. La fédération anticipe une hausse de 2,5% de l'activité, contre +5% en 2017, et 30.000 créations d'emplois, après un gain de 20.000 postes en 2017. Elle va proposer à ses entreprises adhérentes une initiative pour offrir à partir de la rentrée 15.000 contrats de travail à des jeunes et à des demandeurs d'emplois, prioritairement issus des quartiers en difficulté, et étudie la possibilité d'intégrer également plusieurs centaines de migrants.

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Rédigé par education-programme

Publié le 21 Juin 2018

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TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957

1960 - Mon père a montré à ma mère comment tirer avec son pistolet Luger quand ils formaient un nouveau couple. Cette photo est prise sur la route du côté de la vieille ville de Pushaw Lake dans le Maine avec la route enneigée de Tourbière à l'arrière-plan. Chaque printemps cette route devenait quelques jours impraticable pour cause d'inondation. C'est la Triumph TR3 de papa. Si seulement il l'avait gardée.

TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957

TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957

TR3: Une grille de radiateur à la Ferrari
La production débute avec la TS 8637 (commission number), en octobre 1955. Extérieurement une grille de radiateur avancée dite "egg-box" (boîte à œufs) et des joints d'ailes en acier inoxydable, au lieu d'être peints, distinguent la voiture d'une TR2. Il est possible de commander un siège arrière occasionnel pour une 3ème personne, ainsi qu'un hardtop en fibre de verre.
Sur le moteur, un diamètre d'admission agrandi et des carburateurs SU de 1 ¾ inch au lieu de 1 ½ inch font passer la puissance de 90 à 95 ch. Puis en août 1956 : sensation, adoption de freins à disques Girling à l'avant. La TR3 devient ainsi la première voiture de série anglaise à avoir des freins à disque en équipement standard, n'ayant été précédée en Europe que par la Citroën DS 19 l'année précédente. Puis le pont arrière est renforcé et un kit GT est présenté, offrant des poignées de porte extérieures et un hardtop en acier. Par rapport aux TR2, le rythme de production des TR3 est doublé.
D'octobre 1955 à septembre 1957 : 13378 voitures produites.
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
Il s’agit ci-dessous d’un moteur quatre cylindres en ligne, avec double carburateurs Weber double corps - S.U d’origine – en position longitudinale avant, et réalésé à 2134 cm3, la culasse a été rectifiée avec rodage des soupapes, le moteur développe environ 100 chevaux. Boite de vitesses à 4 rapports avec overdrive. La couleur de carrosserie “Winchester Blue” est une teinte proposée dès l’origine en option par Triumph.
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
A l'origine, la Triumph TR1

A l'origine, la Triumph TR1

TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957

D'abord appelé 20 TS, il s'agit d'un prototype construit à l'usine Standard-Triumph de Coventry, en Angleterre. Basé sur un châssis de "Flying Standard Nine" d'avant-guerre, il est présenté au "British Earls Court Motor Show" de Londres en octobre 1952. Il reflète la volonté de Sir John Black de créer une Triumph de sport, jaloux qu'il est du succès des MG-TD d'Abingdon et des Jaguar XK-120 construites à l'autre extrémité de Coventry. La carrosserie est dessinée par l'Anglais Walter Belgrove. Elle a 2 places, un pare-brise plat, pas de couvercle de coffre. Le pont arrière est rigide sur des ressorts semi-elliptiques.
Le moteur est un 4 cylindres, 83 x 92 mm, de 1991 cm3 de cylindrée. Alimenté par 2 carburateurs SU, il développe 75 ch net à 4500 t/min. La direction est à vis et galet, alors que la boîte à vitesses offre 4 rapports avants et 1 marche arrière. La voiture est proposée à £ 555.

TR2: Le style "Belgrove"

TR2: Le style "Belgrove"

TR2: Le style "Belgrove"
Le châssis du prototype est redessiné après que Ken Richardson (ex. B.R.M.) ait été engagé comme ingénieur du développement et ait qualifié l'ancien modèle d'engin de mort ("death-trap"). Durant l'hiver 1952-53, du travail est effectué sur le moteur qui maintenant développe 90 ch à 4800 t/min. La vitesse maximum passe ainsi de 90 à 105 mph, soit de 145 à 170 km/h. La première apparition en public a lieu au Salon de l'automobile de Genève en mars 1953. L'arrière a été redessiné et rallongé, incorporant un coffre avec couvercle.
Ainsi la première TR2 de production sort de l'usine de Canley en août 1953. Le moteur a les mêmes cotes que sur la TR1 mais la boîte à vitesses offre un overdrive en option. Les freins avants et arrières sont à tambours. Le prix de la voiture passe à £ 595 dès janvier 1954, puis à £ 625 dès octobre 1954, plus les taxes. En fait le roadster est en grande demande car son prix et son coût d'utilisation restent bas, ses performances élevées et sa disponibilité immédiate.
De juillet 1953 à octobre 1955 : 8628 voitures produites.
TR3A 1960 - Grande calandre

TR3A 1960 - Grande calandre

TR3A : Le sourire aux dollars
Dans les usines de Canley en Grande-Bretagne, la TR3A entre en production durant l'été 1957. D'abord vendue exclusivement aux USA, elle est offerte au reste du monde à partir de janvier 1958. Extérieurement, la face avant incorpore maintenant une large grille qui inclut les "signofils" et les feux de position. Les phares sont eux repoussés en arrière de 5 cm. Les poignées de portes extérieures et de coffre deviennent standards. Mécaniquement cependant, rien ne distingue la TR3A de la TR3, bien qu'officiellement la puissance indiquée soit maintenant de 100 ch à 5000 t/min. La production s'accroît notablement et plus de 58000 TR3A sont construites. A son sommet en 1960, cette production atteint près de 2000 voitures par mois. Il n'y a pas de changements visibles jusqu'en 1961, à part quelques améliorations apportées au système de freinage Girling.
De septembre 1957 à octobre 1961 : 58236 voitures produites.
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957
TRIUMPH TR3 Petite bouche, modèle 1957

 

TR2/3/3A - 1957 Winchester Blue TR3

I'm looking for some photos of Winchester Blue TR3's. I also need interior photos. I believe the factory interior colors were black,blue,stone,and red for...

 

 

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Rédigé par education-programme

Publié le 12 Juin 2018

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Un ami s’en est allé !
Hier soir Richard Lemaitre, 73 ans, s’en est allé après une longue maladie. Quelques heures auparavant alors que je lui demandais s’il souhaitait que je revienne le voir en compagnie de Joël, le collectionneur de plusieurs de ses caricatures, il me répondit narquois : “Tu m’as déjà dit ça il y a deux mois et vous n’êtes pas venus !”

Après avoir travaillé quelques temps dans le garage familial, place Chaméane, Richard s’est orienté vers l’enseignement et passa des concours afin de devenir professeur d’Atelier au Lycée professionnel Saint-Joseph de Nevers.
Mais sa grande passion demeurait surtout le dessin avec son corollaire la gravure, sans oublier une prédisposition marquée pour la caricature. Dans les années 90, nombreuses seront ainsi les personnalités locales passées en revue par le trait plus ou moins malicieux de Richard, pour le plus grand plaisir de ses amis et connaissances.
Richard participa également à l’installation de l’Atelier de gravure du Groupe dans la tour de la Chapelle Sainte-Marie en 1993. Il fabriqua bénévolement la table de chauffe nécessaire aux tirages des épreuves sur papier et, durant environ cinq ans, il pris en charge ledit atelier en dispensant gracieusement avis et conseils aux amateurs.
Par ailleurs, mettant à profit sa formation de soudeur, il aimait aussi à fabriquer toutes sortes d’objets allant du casque médiéval de Chevalier en passant par l’assemblage-sculpture d’écrous, boulons, plaques et autres tiges de métal.
Richard Lemaitre, ce grand gaillard à la sensibilité manifeste, ne passait pas inaperçu avec sa grosse barbe jadis brune, il appréciait les Arts comme en témoignent non seulement ses multiples créations mais également sa participation active à toute la vie culturelle.
 
Richard aux journées peinture à Fourchambault le 11 juin 2005

Richard aux journées peinture à Fourchambault le 11 juin 2005

Richard en 2009

Richard en 2009

Richard Lemaitre avec Michel Kolsek

Richard Lemaitre avec Michel Kolsek

Richard et sa femme Martine

Richard et sa femme Martine

Richard Lemaitre
Marc Vérat, Corine Fradet et Richard Lemaitre dans l'Atelier de la Chapelle Sainte-Marie en 1993.

Marc Vérat, Corine Fradet et Richard Lemaitre dans l'Atelier de la Chapelle Sainte-Marie en 1993.

Jean-Pierre Harris, adjoint au Maire chargé de la Culture

Jean-Pierre Harris, adjoint au Maire chargé de la Culture

Richard Lemaitre

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Rédigé par education-programme

Publié le 8 Juin 2018

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Le sport à Pougues
Le sport à Pougues
Le sport à Pougues
Le sport à Pougues
Le sport à Pougues
Le sport à Pougues

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Rédigé par education-programme

Publié le 3 Juin 2018

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La pension moyenne d'un sénateur, hors majoration pour enfants, était au 30 septembre 2014 d'environ 4464 euros net par mois, en sachant bien entendu que les élus locaux peuvent cumuler plusieurs pensions.

Bérégovoy ; Une Maison de retraite construite en zone inondable, des douanes inutiles...
Sans évoquer son successeur, le petit Boulaud, dont on ne retiendra, hélas, que son sens de l'opportunité avec son fort attachement à Nevers. Sitôt ses mandats terminés, il s'empressera de quitter le département en laissant une ville quasi à la dérive. Même le tabac à ce jour semble encore l'épargner.
Il est permis de supposer que de nombreux neversois auront cette désertion en travers de la gorge... 

Didier Boulaud, l’au revoir sans regrets !
"Depuis le début de semaine, Didier Boulaud n’exerce plus aucun mandat politique. S’il admet que le goût du pouvoir était l’un de ses moteurs, il a organisé son départ. Sans amertume."
En tout cas on peut dire qu'il en aura bien profité et à chacun de se faire une idée sur l'efficacité de son bilan de Député ou Sénateur-Maire de Nevers du 3 mai 1993 au 8 mai 2010.
 
LA VILLE A VENDU PLUSIEURS BIENS IMMOBILIERS
 
Par délibération du 24 novembre 2015, le Conseil municipal avait décidé de mettre en vente plusieurs biens immobiliers dont la Ville souhaitait se débarrasser. Presque tous ont été vendus.
 
1 - L'ancien Centre social des Montots, situé 52, rue Paul-Pierre-Clerc, a été vendu à une association à caractère cultuel, baptisée "Le Tabernacle de Dieu". Cette « Assemblée de prière », comme elle se définit dans ses statuts déposés en préfecture en 2012, « agit pour l'entraide, dans le domaine humanitaire et caritatif ». Son siège social était, depuis plusieurs années, basé dans un appartement de la rue Jules-Verne. Les locaux de 350 m2, et une partie des terrains (2.046 m2, sur un total de 8.457 m2), ont été acquis pour la somme de 70.000 € net vendeur par la présidente de l'association, Ilunga Ossasse Danysette.
 
2 - L'ancien Centre social du Banlay, situé 10, boulevard Saint-Exupéry, qui a déménagé rue Georges-Guynemer, a été vendu pour la somme de 150.000 € à Benoît Badan, un Neversois demeurant rue du Banlay. Le bâtiment, d'une surface de 608 m2, devrait être transformé en logements pour étudiants. Il devra, avant cela, être équipé d'un escalier de secours extérieur. L'ensemble repose sur une parcelle de 846 m2. Il avait été estimé à 240.000 € en 2012, mais il s'était nettement dégradé depuis son inoccupation. Il était en vente depuis deux ans.
 
3 - Un bâtiment de deux étages, en bon état, situé 12, place Chaméane, d'une superficie de 232 m2, et l'ancien cinéma (renommé Majestic, avant sa fermeture), d'une superficie de 452 m2, situés au 10, place Chaméane, jugé « bon à démolir » par les services techniques, ont été vendus ensemble pour 92.800 € par l'intermédiaire de « l'Agence à taux réduits ». Le nouveau propriétaire, Thomas Lagrange, demeurant à Sayant, en Auvergne, a pour projet d'y créer un cabinet dentaire, avec, dans la foulée, la création de six emplois.
 
4 - Un bâtiment de deux niveaux de 100 m2 chacun, implanté au 25, boulevard de la République (anciens établissements Courpied), situé sur un terrain de 400 m2, a été vendu pour la somme de 32.000 € à José Viéra, demeurant à Sermoise. Le nouveau propriétaire envisage d'effectuer un investissement locatif, en créant plusieurs logements.
 
5 - L'ancienne école de la Maîtrise, située rue du Cloître Saint-Cyr, juste à côté de « l'Espérance » (Groupe scolaire Notre-Dame), et qui abritera encore, jusqu'en septembre, le Musée de l'Éducation, a été vendu 110.000 € à Pierre Mercier, demeurant rue Saint-Martin à Nevers. D'une surface de 290 m2, sur un terrain de 546 m2, avec une cour offrant une belle vue sur le pont de Loire, ce bâtiment avait été estimé 136.000 € en 2010. Mais il s'est fortement dégradé, notamment au niveau de sa charpente, infestée par des capricornes. Pierre Mercier souhaite créer sur place un cabinet médical.
 
6 - Un entrepôt de 800 m2 et un bâtiment administratif de 350 m2, situés 143, rue Francis-Garnier, ont été vendus en deux lots, via l'agence immobilière Orpi de la rue Bérégovoy. Le bâtiment, également accessible par la rue Edmé-Laborde, vers la Zone des Taupières, a été acquis par la société Bourgogne Formation Incendie de Marigny-sur-Yonne pour la somme de 54.500 €. L'entrepôt est revenu à Julien Commaille, demeurant à Germigny-sur-Loire, pour un montant de 166.000 €, comprenant un vaste terrain (superficie totale : 6.501 m2). Auparavant, tout cet ensemble était loué par la Ville à la société SPIE.
 
7 - L'ancienne cuisine centrale, située 20, rue Albert-Camus, dans le quartier de la Grande-Pâture, qui comprend trois bâtiments de 500 m2 chacun, et un terrain de 3.304 m2 a été vendue à M. Akbayin, domicilié à Marzy, pour la somme négociée de 75.000 €. Les bâtiments avaient d'abord été estimés 200.000 € en 2013 par France Domaine, puis revus à la baisse à 100.000 €, compte tenu de leur état, les toitures, en particulier, n'assurant plus l'étanchéité.
 
8 - Le bâtiment des Bains Douches est l'un des rares qui n'a pas encore trouvé acquéreur. Proposé à 150.000 €, il est réparti sur deux niveaux, et demandera « pas mal de travaux » pour le remettre au goût du jour. Au prix du mâ (555 €), c'était le plus cher de tous les biens mis en vente par la Ville, en décembre dernier. Mais, avec sa devanture bien conservée, et une belle situation, rue Jean-Desveaux, il pourrait tôt ou tard intéresser un commerçant souhaitant un local qui sort de l'ordinaire. Construit en 1925, il comprenait, à l'époque, 19 cabines pour des douches facturées… un franc.
 
9 - Une maison située près des anciens abattoirs, rue de la Fosse-aux-Loups a été vendue à la locataire en place pour la somme de 54.000 €, comprenant deux terrains de 1.379 m2 et 81 m2.
 
cf/ Dominique Souverain lejdc.fr
Didier Boulaud

Didier Boulaud

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