Publié le 17 Août 2020

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Développement des sites et activités touristiques des territoires
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Une volonté politique ? Questions - Réponses "La RATP invite la Nièvre"
https://travail-de-memoire.pagesperso-orange.fr/Projet.pdf

La communication sur différents supports parisiens est assez jubilatoire mais il faudra convaincre ces mêmes décideurs pour certains prompts à l'interpréter comme provocatrice à notre époque du mouvement #MeToo ?

L'association "je suis la Nièvre" s'est redéfinie en 2019 !

Les figures ou plus exactement les allégories féminines restent une constante dans la représentation occidentale et permettent sans doute de se démarquer de la traditionnelle carte-postale ou affiche de la trilogie « souvenir-paysage-monument ».
Il s'agit d'un moyen d'attirer l'attention sur notre Département sans lien aucun avec l'association « Je suis la Nièvre » que d'ailleurs je ne connaissais pas.

Aujourd'hui la provocation, bien timide en l’occurrence, fait partie du jeu en communication comme ailleurs et le mouvement #MeToo que vous citez en constitue le parfait exemple, sans compter sur une ouverture d'esprit sans distinction, tant masculine que féminine. D'ailleurs notre Marianne hésite-t-elle à montrer sa jolie poitrine ?

Effectivement les décideurs sont souvent frileux, surtout si l'idée vient d'ailleurs, je veux dire en dehors de leur cercle de connaissances et de relations, mais ce n'est pas vraiment nouveau.
Pourtant le projet ne serait pas forcément très coûteux ; en effet, la RATP dispose d'après son directeur des relations institutionnelles d'espaces libres, mais pour en bénéficier un appui politique s'avère incontournable.

Le projet a t-il été proposé aux intéressés nivernais ?

Le projet a bien été proposé aux intéressés nivernais et bourguignons et j'ai reçu quelques courriels encourageants mais delà à être suivi d'effet ? A noter que nos deux députés n'ont pas répondu. Par contre, la Mairie voisine de Pougues-les-Eaux serait partie prenante pour une exposition-présentation en soutien du projet « Je suis la Nièvre », dans le cadre de son Pavillon des Sources, au Printemps prochain.

Alors pourquoi quelques Départements ne transformeraient-ils pas l'épreuve de l'épidémie de Covid-19 en opportunité pour attirer les touristes ?

La société change, tout le monde s'en rend bien compte, Covid-19 ou pas. Les méthodes de fabrication ont considérablement évolué avec nombre d'emplois supprimés. Ne reste plus que le domaine tertiaire et, ici, la situation centrale, donc la proximité du « Vert Pays » devient certainement un atout à exploiter notamment envers Paris et sa région.

Qu'attendez-vous de la présentation qui doit avoir lieu, début avril 2021, dans le cadre du Pavillon des Sources ?

Il s'agit d'une exposition de photos, avec comme fil conducteur les muses Clio ou Thalia, se singularisant ainsi des ordinaires cartes-postales ou affiches sur la Nièvre.
L'idée principale de la présentation serait de motiver les « décideurs » afin de déboucher sur une campagne de promotion de notre Département, par un affichage bus-métro qui possède une grande visibilité.
Montrer l'Image de « Je suis la Nièvre » posséderait le mérite d’attirer l’attention d'un large public sur un coin de France proche de Paris mais pourtant si différent, pour un coût relativement modeste puisque la RATP dispose d'espaces libres réservés.
Dès lors, il devrait être relativement aisé de trouver quelques sponsors en échange de la mention de leur participation sur les grandes affiches.

https://travail-de-memoire.pagesperso-orange.fr/Projet.pdf

Développement des sites et activités touristiques des territoires
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"La nouvelle politique d’attractivité initiée par le conseil départemental de la Nièvre il y a trois ans et portée par l’agence de développement touristique a débouché sur la constitution de l’association Je suis la Nièvre. En 2018, le département a versé une subvention de 50.000 € à l’association."
lejdc.fr/ J-M Manquat

Comme tout contribuable, je remarque que le Conseil Départemental a versé 50 000 euros, mais pour quels résultats ? Alors que le projet décrit ci-dessous ne lui coûterait rien ou presque.
Que la RATP dispose bien d'espaces gracieux depuis plusieurs années, sans parler de quelques endroits prestigieux "institutionnels"...

« Cette 7ème édition de « La RATP invite » est bien-sûr particulière car elle correspond aussi au retour de nos voyageurs sur le réseau après la période de confinement lié au COVID-19. Cette exposition qui célèbre la nature est aussi pour nous une occasion d’offrir à nos voyageurs une échappée belle... »
Anaïs Lançon/ Directrice de la Communication et de la Marque du groupe RATP

Désormais tout paraît autorisé et Claude Lévêque pose fièrement devant ses pneus de tracteur installés à l'entrée de l'Opéra Garnier, alors pourquoi ne pas présenter la Nièvre dans le Métro, à Versailles, à Orsay, à l'Opéra ?

Désormais tout paraît autorisé et Claude Lévêque pose fièrement devant ses pneus de tracteur installés à l'entrée de l'Opéra Garnier, alors pourquoi ne pas présenter la Nièvre dans le Métro, à Versailles, à Orsay, à l'Opéra ?

Près de La Charité-sur-Loire et plus précisément dans le hameau de Pète-loup, un artiste contemporain reconnu possède une résidence secondaire.
Sa recette pour l'art contemporain :
On commence par Dan Flavin, minimaliste américain, né en 1933, célèbre pour ses installations de tubes néons fluorescents.
On y ajoute Ben Vautier, né en 1935, qui acquiert une certaine notoriété dans les années 60 à travers ses citations.
On obtient alors Claude Lévêque, né en 1953 à Nevers.

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Rédigé par education-programme

Publié le 5 Août 2020

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La Nationale 7, à la sortie de Pougues, passe devant l'un des tout premiers Courtepaille de la chaîne. Mais c'est au bord de la Nationale 6 que Jean Loisier, fondateur de l'enseigne en 1961, ouvre à Rouvray un restaurant de grillades, préparées dans la cheminée directement devant les clients pour s'affranchir de cuisinier. Rond et couvert de chaume, il baptise son établissement « La Courte Paille ».
Jean Loisier ouvre un second restaurant à Cussy au sud d'Avallon. Pour le journaliste Jean-Laurent Cassely, Courtepaille est « pionnier du modèle tout-voiture avec ses restaurants implantés dès 1962 sur le bord des routes des vacances ». Les restaurants sont tous décorés de la même façon : matériaux naturels, chaleur dégagée par la cheminée centrale.

En 2019, la chaîne compte près de 300 restaurants dont un tiers en franchise, la chaîne de restaurants a appartenu longtemps au groupe Accor.

Aujourd'hui, Courtepaille appartient au fonds britannique Intermediate Capital Group (ICG).
La chaîne rencontre de grandes difficultés pour se relever des deux mois de confinement suite à l'épidémie de COVID 19. Le 21 juillet 2020, les dirigeants déposent le bilan auprès du tribunal de commerce d'Évry afin de déclencher l’ouverture d’une procédure de redressement judiciaire. L'audience est prévue le 27 juillet.

Le fonds britannique, propriétaire de l'enseigne de restauration qui emploie près de 3.500 personnes, aurait demandé à la banque Lazard de trouver un repreneur selon les informations des Échos.
Les premières offres sont attendues à la fin du mois de juin pour une cession espérée courant Août. Sollicitée par Les Échos, la direction de Courtepaille n'a pas souhaité commenter cette information.

Le Courtepaille de Pougues pourrait bientôt disparaître du paysage
Le Courtepaille de Pougues pourrait bientôt disparaître du paysage
Le Courtepaille de Pougues pourrait bientôt disparaître du paysage
Le Courtepaille de Pougues pourrait bientôt disparaître du paysage
Le Courtepaille de Pougues pourrait bientôt disparaître du paysage

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Rédigé par education-programme

Publié le 1 Août 2020

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Au hameau de Chaume, dans la commune de Saint-Quentin-sur-Nohain, tous les habitants sont privés de téléphone fixe et d’internet depuis le 26 juin. Et depuis rien n’avance.
Aujourd’hui, toujours rien. Ce n’est pas faute d’insister auprès des différents services, mais les particuliers peinent à parler avec quelqu’un à qui exposer leur problème. Leurs seuls interlocuteurs : Des plateformes basées au Maroc, à Madagascar, qui vous indiquent pour la énième fois la manière de re-configurer votre Livebox.

Des incidents récurrents
La population est excédée. De semaine en semaine l’échéance pour résoudre les problèmes est repoussée. Après de multiples appels des habitants, les services devaient intervenir le 24 juillet, mais les lignes sont toujours coupées.
Ce qui les exaspère d’autant plus, c’est que ce phénomène se répète. Il y a environ deux ans, ils ont déjà été privés de fixe durant deux mois. « Nous sommes vraiment des oubliés », s’exclament-ils. « Cette situation est inadmissible, alors qu’on nous parle de 5G, de fibre. Il faudrait déjà s’assurer que dans nos campagnes, il y ait un réseau correct, avec un bon débit et la 3G. Ça serait vraiment parfait ».

« Le vrai problème, c’est la vétusté de la ligne »
Le maire de la commune, Robert Chollet, explique : « Orange est intervenu de nombreuses fois déjà depuis le 26 juin, mais rien ne change. Ils nous disent que ce sera réparé "prochainement". Le vrai problème, c’est la vétusté de la ligne. Chaque fois qu’un nouvel habitant arrive dans le village et demande à être connecté, quelqu’un d’autre perd sa connexion. Elle est hors d’usage, il faudrait la changer, mais cela représente 6 km de lignes à refaire pour douze foyers… Je pense que ça n’est pas rentable pour eux… »

 

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Rédigé par education-programme